lunes, 6 de junio de 2011

Genève.

Il n'importe pas quel ou le moment, l'époque de l'année ou le lieu. Tu respires toujours stabilité, tranquillité, calme. Depuis que tu te lèves le matin avec la brise lisse du vent humide du lac jusqu'à ce que tu te couches chaque nuit sous le ciel obscur et plein d'étoiles. Tu marches par la rue et personne ne te surveille, personne ne te juge, personne ne te connaît, sauf le propriétaire du petit super-marché de la place d'en avant, qui a contrôlés à tous les voisins de la pomme, ou l'homme que chaque jour retire les feuilles sèches qui tombent sur le terrain de basket-ball de la cour arrière, q'il demande toujours autant de temps tu resteras cette fois. Tous sont gentils avec toi, te transmettent tranquillité, bonne humeur, et les premiers jours, quand ton timide français sonnera oxydé et lent, s'efforcent par comprendre et pour faire que tu les comprennes. Peines trafic, à peine bruit, à peine fumée, beaucoup de bicyclettes, et aucune qui autre autobus. Les rues incroyablement propres, les parcs pleins de vie, enfants et animaux en courant d'un côté un autre, jardins colorés jusqu'en époque d'hiver… et neige, beaucoup de neige, mais de ce qui est jolie, dont elle ne donne pas du froid, dont il donne de la paix. Le chocolat, tellement bon que il ne te rassasie jamais, son parfum produit la sensation que tu pourrais seulement manger cela. Et les longues nuits dans différents lieux, différente atmosphère, différents gens…ou dans le sofa de maison, avec les couvertures de couleurs, les films en version originale et les séries subintitulées ou les romans de Reverte, mais qui ne cessent pas d'être de nuits. Genève...d'autres personnes parlent d'elle comme si elles la connaissaient...Ils ne savent rien.

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